Infos RANDOS

12 September 2010 AUMES et CASTELNAU DE GUERS « Sentier des Parradéous et de St. Antoine ».
Facile – Départ: 9 h
.

Randonnée facile de début de saison qui nous permettra de découvrir en cours de route « l’Espandidou de las fadas » (l’étendoir des fées), dont je vais vous raconter la légende.
Ces rochers mouchetés, pittoresques ont de tout temps intrigué les curieux. Après la pluie, l’eau stagnait dans des cuvettes que l’érosion avait creusées sur la roche. La nuit, la lune se reflétait dans ces miroirs naturels et les anciens, qui savaient tout interpréter, prétendent qu’à ce moment là, on avait l’impression que ” les fées étendaient leur linge”. Bonne randonnée .

Patricia SELVA





19 Septembre 2010  SAINT GUILHEM LE DESERT « Le Roc des Vignes »
Bon Marcheur – départ: 8h30

Se promener dans les Monts de Saint Guilhem est toujours un grand plaisir. La végétation y est très belle, typiquement méditerranéenne, et les falaises calcaires donnent un petit air montagnard à ce massif pourtant si proche du littoral. Il faudra monter, monter, monter, vous pourrez souffler un peu en visitant les ruines du Mas de l’Arboussier et y découvrir un four qui donne envie de cuisiner. On atteindra le point culminant du massif (709m au Roc de la Vigne) et on traversera l’exceptionnelle forêt de pins de Salzmann du versant Nord. Lors de la descente, on découvrira le village abandonné de l’Estagnol avec peut être une rencontre  avec un berger. Dans la deuxième partie de la descente vous aurez le plaisir de trouver une superbe vue sur la vallée du fleuve

René POHL

26 Septembre 2010 LE CAROUX Autour des gorges de Colombières (850 m de dénivelé)
Sportif-Départ:08h

Qui dit CAROUX pense dénivelé à la montée (attention aux jambes et au souffle) et dénivelé à la descente (attention aux genoux).
Nous partirons de Colombières par le sentier de Garel qui nous permettra d’atteindre le plateau (Altitude 1063 m.) en passant par la Baraque de Caylus. (Dénivelé 850m.).
La suite est plus facile sur le plateau on suivra le GR7 qui nous mènera à Lafage (780 m. d’altitude) et Les Avels. Le retour se fera par le Mur de la Cabrière (sentier plat) et par le Chemin des Fleysses jusqu’à Colombières

Pierre GODFROY

2 et 3 Octobre 2010 : LOZERE. RIEUTORT-DE-RANDON
Bon marcheur- départ : 8h. Séjour en demi-pension.

RIEUTORT-DE-RANDON : petit village de la Lozère, dans la région du Languedoc-Roussillon, situé à 1131 mètres d’altitude, à 13 km de Mende ; Rieutort a une église du siècle dernier, bâtie en beau granit, et dont le clocher monumental, à trois étages, impressionne.
Le
TRUC DE FORTUNIO (1551 m) est le point culminant de la Margeride, région naturelle située principalement en Lozère, mais également dans le Cantal et en Haute-Loire. Il est équipé à son sommet d’antennes relais pour la télévision, les radios de service public et la téléphonie mobile, afin de desservir le nord de la Lozère et le sud du Cantal. Ce relais, qui utilise une tour de 105 m de haut, est équipé, depuis février 2009, pour recevoir la TNT.

Le lac de CHARPAL est un lac de retenue du barrage de Chaptal. Il est alimenté par la Colagne et sert d’alimentation en eau potable pour la ville de Mende et ses alentours. Sa conception remonta aux années 20. Prévu d’abord pour être une cache de poudre destinée aux armées, avec une voie ferrée qui le reliait à Larzalier, vers la Montagne du Goulet, il est devenu, par temps plus pacifique, une réserve d’eau pour le bassin de Mende.Sa superficie est de 1,9 km², sa profondeur de 16 m et sa contenance de 14 millions de m³.Entouré de tourbières, il demeure, à 1358 m d’altitude, un sanctuaire incomparable pour la faune et la flore. So pourtour a été aménagé, avec déambulatoires, passerelles et observatoires en bois. Charpal demeure un lieu sauvage et préservé, que nous découvrirons, où viennent se mirer tous les nuages de Margeride. NB : réservation au 06 81 62 03 60 avant le 18 septembre 2010 ; je vous contacterai le 24 ou 25 si vous souhaitez des renseignements ; laissez un message, merci !

Jean Marie PRIEUR

10 octobre 2010. Fontès, volcan du Céressou
facile – env.5h – départ : 8h 30.

Comme de nombreux patronymes et toponymes, le nom de Fontès est doté d’une racine évoquant l’eau, plus précisément son jaillissement sous forme de source, résurgence ou fontaine : font, fons, fous, foux… l’eau est d’ailleurs omniprésente dans cette zone où le sol, relativement imperméable, fait couler les eaux de pluie en surface, et parfois les absorbe pour mieux les voir jaillir au contact de couches argileuses. Des marnes, des grès, du calcaire et, plus haut, des schistes entre Cabrières, Vaillant, Neffiès, Caux et Nizas, mais aussi des couches volcaniques jouant ce même rôle. Bien des sources sont captées de longue date et, à l’entrée de Fontès, la superbe fontaine en fonte voit couler depuis toujours une eau réputée de qualité. On dit d’ailleurs qu’elle serait en rapport avec le réseau souterrain alimentant la source de Fontbonne près de Cabrières. A propos du Céressou : les monts Ramus à Saint-Thibéry et Sain-Loup à Agde sont des exemples de volcans qui se sont manifestés le plus tardivement dans notre région. Le secteur situé entre Clermont-l’Hérault et Pézenas a été, au début du quaternaire, recouvert par des coulées basaltiques en provenance de l’Escandorgue, qui a connu plusieurs volcans

Jean Marie VILAIN


17 octobre 2010 SAINT LAURENT LE MINIER « Circuit de l’Oiselette »
Bon Marcheur -16 Kms- Dénivelée totale 720 m- Départ: 8h30.

Ce circuit donne l’occasion de découvrir le massif de l’Oiselette à peu près rectangulaire et délimité par Ganges, Le Vigan, Montdardier et St. Laurent le Minier. Quoique au sud de l’Arre et de l’Hérault, il s’intègre aux Cévennes mais avec son caractère propre.
Il s’agit d’un parcours très homogène et sans point fort particulier. Le sommet de l’Oiselette est d’ailleurs révélateur : il donne son nom à la balade, il est bien le point culminant du parcours mais on ne s’y arrêtera pas car à cet endroit la forêt est très dense. Cependant on ne s’ennuie pas sur ce tracé où la végétation change sans cesse, où on traverse des villages et où on alterne les vues dans différentes directions.
Belle randonnée cévenole d’hiver où le parcours conserve un charme particulier car il est très ensoleillé et lumineux.

Patricia SELVA

24 octobre 2010 « Camprieu-l’Aigoual-La vallée du Bonheur
Bon marcheur – 20 Kms-5h- dénivelée 600m.Départ: 8h30

De Camprieu nous passerons à la perte du Bonheur puis au col de la « Croix de fer » la montée vers l’Aigoual se fera par le GR 6 dans la forêt de l’Aigoual avec des vues sur la vallée du bonheur et les Causses de Sauveterre et Méjean.
Nous passerons à Prat Peyrot avant d’admirer la belle vue du sommet de l’Aigoual.
La descente se fera par le GR 7 jusqu’au col de la Serreyrède puis nous rejoindrons le « Bonheur » que nous suivrons jusqu’à Camprieu.
Une belle randonnée en perspective où nous pourrons apprécier les couleurs de l’automne et ramasser quelques champignons.

Pierre GODFROY

31 octobre 2010 Aujargues(Gard), le chemin des oliviers,
facile-18 km- env.4h 30. Départ:8h 30
(attention ! changement d’heure)

Parmi ses curiosités, la commune d’Aujargues comporte un château, un pigeonnier remarquable et un pont.
Le château d’Aujargues (site naturel classé depuis 1969). D’abord château-fort situé hors du village ; vers 1306, Philippe le Bel donne ce château à Guillaume de Nogaret pour le remercier de son rôle dans le conflit qui l’opposait au pape Boniface VIII (attentat d’Anagni). Le château et le domaine resteront 494 ans dans la famille des Nogaret.
L’ancien pont de la Cure permettait au curé d’aller du presbytère à son jardin. Sous Napoléon III, les services des Ponts et Chaussées ont creusé une tranchée pour permettre une circulation plus facile sur la Départementale 10 de cette époque en direction de Sommières. Le curé a demandé la construction d’un pont. C’est ce qui a été fait. En 1866, la route était ouverte à la circulation. À signaler qu’en 1993, un camion a détruit ce pont. Il a été reconstruit à l’identique mais entièrement en pierre tendre contrairement au modèle original qui comportait des éléments en calcaire de roquemallière, plus dur. De nombreux peintres ont fait des tableaux à partir de ce site particulièrement pittoresque.
Bien que moins nombreux et aux architectures moins variées qu’en Provence ou dans les zones céréalières du Sud-Ouest, notre région permet de découvrir un certain nombre de pigeonniers. La plupart sont intégrés aux bâtiments des domaines. Par contre, celui du château d’Aujargues est isolé. Il fait partie des pigeonniers à arcades. Une pierre porte la date de construction : 1699. On en trouve de similaires dans d’autres régions, mais aussi sur pilotis ou de type toulousain en “pied de mulet”. Ces derniers sont en fait des modèles rustiques avec toiture d’une seule orientation présentant un décrochement ou ressaut servant de passage aux volatiles. Jadis, outre la chair très appréciée des pigeons, on récupérait leurs fientes, nommées colombines, qui est un riche engrais.

Jean Marie VILAIN

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